Selexium Lyon
Conseils en gestion et développement de patrimoine

Lyon a à cœur de conserver son identité. Au plus grand plaisir des habitants de longues dates et des nouveaux arrivants. C’est pourquoi les quartiers anciens sont soigneusement entretenus, comme la Croix-Rousse ou le Vieux Lyon, où se trouvent les reconnues traboules, ces passages piétons traversant des cours d’immeuble pour aller d’une rue à une autre, très appréciées des locaux et des visiteurs. Le Vieux Lyon n’est également pas en reste de bouchons, restaurants typiques où l’on déguste les spécialités de la région, quenelles et autres mets Rhônalpins qui contribuent à la réputation de la gastronomie lyonnaise. Le quartier de la Croix-Rousse, si adoré des touristes, propose des prix qui se rapprochent de ceux de la Capitale, allant de 4 280 à 8 559 € le mètre carré. Fourvière et sa vue imprenable sur la ville des Lumières affiche des prix un peu plus abordables, à environ 5 000 € le mètre carré.

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La ville des lumières ne se contente pas d’apprécier ses acquis. Elle est sans cesse à la recherche de renouveau, ce qu’elle prouve avec la construction de nouveaux quartiers empreints de modernité, comme Confluence, l’un des plus grands projets urbains européens. Lyon est engagée dans la rénovation de plusieurs quartiers et a pour objectif d’améliorer son attractivité, ainsi que la qualité de vie et le confort de ses habitants. Les immeubles et résidences se construisent sans cesse et attirent toujours autant les acheteurs à la recherche d’immobilier neuf, au confort moderne et adapté aux nouvelles normes de sécurité. Le récent quartier Confluence, limitrophe à celui de la gare Perrache reste lui aussi l’un des quartiers les plus appréciés avec un prix allant de 3 995 à 7 991 € le mètre carré.

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À seulement deux heures de Paris, des montagnes pour dévaler les pistes ou encore de la mer Méditerranée, Lyon jouit d’une situation géographique idéale pour permettre aux locaux de s’évader le temps d’un week-end, et aux habitants des régions limitrophes de s’accorder un break à la découverte de l’agglomération lyonnaise sans trop de difficultés.

Lyon s’impose comme un carrefour économique important en hébergeant nombre d’entreprises et instituts de recherche qui emploient de nombreux salariés et cadres. La commune a également été récompensée du titre de meilleure ville étudiante en 2018. Autant de facteurs qui promettent une forte hausse de la demande locative.

Côté prix, la ville affiche encore des prix élevés par rapport à la moyenne nationale. En effet, pour 300 000 € en moyenne, un investisseur peut s’offrir 46 m² environ en 2023. Selon les quartiers, les montants au mètre carré peuvent varier entre 3 400 € à 6 405 € pour un appartement et entre 4 455 € à 8 592 € pour une maison. Le prix de la pierre a toutefois entamé sa baisse. D’autres grandes villes françaises connaissent également cette même tendance, notamment depuis l’été 2022, en raison de la hausse des taux d’intérêt. À Lyon, cette tendance est, en revanche, particulièrement prononcée, en cause la forte augmentation des prix de l’immobilier ces dernières années. Bien que la métropole ait mis en place des mesures efficaces pour contenir cette flambée des prix, ceux-ci ont tout de même explosé et notamment dans la région lyonnaise.

La préfecture du Rhône est éligible à plusieurs dispositifs permettant aux contribuables de défiscaliser une partie de leur investissement. Étant localisée en zone A, elle n’a pas été pénalisée par le redécoupage Pinel effectué en janvier 2019 et la suppression des zones B2 et C. Les contribuables souhaitant investir dans l’immobilier neuf peuvent ont donc jusqu’à décembre 2024 pour se tourner vers cette loi, à condition qu’ils s’engagent à louer leur bien durant plusieurs années (minimum 6 ans) ou vers le Pinel Plus si le logement respecte les conditions de confort et de performances énergétiques exigées par le dispositif. La loi Denormandie, récompensant l’investissement dans les logements à rénover en vue d’une location peut également être appliquée dans la ville, comme le dispositif Malraux ou encore, plus couramment utilisé, le déficit foncier.